"Hier, dimanche, concert au Corso-Theater. Au programme Berlioz et Mendelsohn. Le concerto en ré. Au mouvement final, dans le déchaînement du violon, la lourde chevelure blonde de la soliste s'est dénoué et d'un seul coup a croulé sur ses épaules. C'était romantique et magnifique. Je ne savais plus ce que je faisais." Journal d'Etienne,
Deux Rubans noirs, Pierre Labat.
